Puyfaux, An1245,

Il était une fois dans une ville du nom de « Puyfaux » un nombre incalculable de personnes disparues. Ces personnes étant des hommes comme des femmes. Les enfants étaient pour la plupart épargnés, allons savoir pourquoi. Ce que l’on sait c’est que des sorcières rôdaient dans les bois et étaient prêtes à tout pour faire un ou deux sacrifices pour réussir leurs sorts. C’est pour cela que le maire a fait appel à des chasseurs de sorcières. Ceux-ci peuvent être des hommes, des femmes et même des enfants. Le maire les récompenserait s’ils arrivaient à tuer toutes les sorcières possibles de la région. En effet, voir des personnes disparaître toutes les semaines n'a pas été chose facile à concevoir.

Puyfaux, Un an plus tard,

Depuis que le maire de la ville a fait appel aux chasseurs de sorcières les disparitions ont diminuées. On a rapportés des sorcières vivantes pour pouvoir les tuer sur le bûcher sur la place publique devant le peuple. Celui-ci est vraiment content de savoir que les chasseurs arrivent à quelque chose. Presque toutes les semaines on met des noms, des avis de recherches sur le tableau d’affichage de la ville en espérant que le lendemain la sorcières soit tuée.

Le maire a donné quelques récompenses depuis l’an dernier et il aimerait continuer à faire comme cela. Le peuple en a marre et demande à ce que toutes les sorcières soient tuées dans la foulée. Les chasseurs ne sont pas d’accord car il y a tout de même un temps d’enquête avant de pouvoir tuer une sorcière.

Puyfaux, An 1255,

Cela fait maintenant dix ans que les chasseurs se sont installés en vile. Les sorcières apparaissent de plus en plus nombreuses au fil des années. Les chasseurs sont comme dépassés. Le maire a fait appel à d’autres éventuels chasseurs qui voudraient gagner de l’argent. Mais les temps sont durs, même pour ceux-ci. Les gens ne veulent pas mourir lorsqu’ils vont essayer de tuer une telle créature. Mais vous, voudriez vous être un chasseur qui traquerait les sorcières sans relâche ou serez vous un citoyen du peuple qui n’en a que faire ?